ViteButNotTooMuch : ni trop vite, ni trop mou… mais juste assez fou !

J’ai toujours voulu aller vite. Mais pas trop. Parce que trop vite… c’est suspect. Un jour, j’ai voulu faire vite. Résultat ? J’ai tout fait à l’envers. J’ai mis mes chaussettes dans la cafetière et mon café dans mes chaussures. Depuis, je fais les choses plus lentement. Mais pas trop lentement non plus, sinon je m’arrête… et je me repose tellement que je finis par ne plus rien faire. C’est là qu’est né en moi le concept : ViteButNotTooMuch.

C’est une méthode ? Non ! C’est une philosophie ! C’est un rythme intérieur ! Une pulsation sacrée entre deux battements de cœur. C’est… c’est un GPS existentiel, qui te dit : “Tourne à droite… mais doucement. Et fais-le en souriant.”

Un art de vivre, ou de survivre sans courir

Avec ViteButNotTooMuch, on avance, mais on ne piétine pas. On médite, mais on ne s’endort pas. On agit, mais on ne s’agite pas. Car dans l’agitation, il y a “gitation”, et moi je n’ai jamais su ce que ça voulait dire, mais ça me donne le tournis.

Alors j’ai appris à faire un pas, juste un. Et ce pas-là, je le fais bien. Je le polit. Je le cire. Je le brosse dans le sens du progrès. Puis j’en fais un autre. Et je recommence. C’est lent, mais c’est beau. C’est discret, mais ça laisse des traces.

Les fondations branlantes mais brillantes

  • La lenteur éclairée : Il ne s’agit pas d’aller lentement parce qu’on traîne… mais parce qu’on réfléchit ! On ne perd pas du temps, on le choisit !
  • La vitesse dosée : Aller vite, oui, mais pas au point de perdre ses clefs, sa tête, ou son pantalon.
  • Le mouvement joyeux : Car faire les choses en râlant, c’est avancer à reculons. Et moi, quand je marche à reculons, je bute sur mes doutes.
  • Le doute fécond : Car celui qui doute progresse. Celui qui est sûr… reste planté.
  • Ce que ViteButNotTooMuch vous apporte

    • Des objectifs atteignables, pas des mirages en baskets.
    • Des réussites modestes mais solides, comme un tabouret à trois pieds bien vissés.
    • Un rapport au temps apaisé : on arrête de lui courir après… et il finit par s’asseoir à côté.
    • Et surtout… le plaisir de faire, et pas juste d’avoir fait.
    • Moi, avant ViteButNotTooMuch, j’avais l’impression que tout devait aller vite : les mails, les livraisons, les émotions, les cheveux qui tombent. Je croyais que si je n’allais pas vite, j’étais à la traîne. Maintenant, j’ai compris : ceux qui vont trop vite… finissent par rater les choses importantes. Comme les fleurs qui poussent. Ou les pensées qui viennent quand on ne les cherche pas.

      Alors je vais vite. Mais pas trop. Juste assez pour que chaque seconde ait le temps de devenir un souvenir agréable. Et si parfois je suis en retard ? Ce n’est pas grave. Car j’arrive toujours… au bon moment pour moi.

      ViteButNotTooMuch, ce n’est pas un slogan. C’est un équilibre. Une sorte de funambulisme de l’âme, entre la précipitation et la procrastination. Une course au ralenti. Un sprint contemplatif.

      Et comme disait un ami à moi, philosophe de trottoir : “Mieux vaut arriver serein que partir stressé.”

      Je vous laisse, je dois continuer… lentement… mais sûrement… et surtout… joyeusement !

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